Près d'un Belge sur 4 est prêt à passer à la conduite électrique

La voiture électrique est de plus en plus présente dans la rue. Mais qui est le moteur de cette transition vers la mobilité électrique ? Les entreprises prennent les devants, mais qu'en est-il du Belge ordinaire ? Quelle est leur attitude à l'égard des voitures électriques ? À l'occasion de la Semaine de la Mobilité, le bureau d'études indépendant Profacts, mandaté par Polestar, a demandé à 2 008 Belges de répondre à ces questions.

La transition vers la mobilité durable doit s'accélérer

Le transport représente 20% des émissions totales de CO2 en Belgique[1]. Pour briser cette tendance à la hausse, il est temps de faire des choix de mobilité plus durables, dès aujourd'hui. Les voitures électriques sont plus qu'une alternative aux voitures à carburant fossile, elles font partie de la solution climatique déjà aujourd'hui. Si elle est chargée avec de l'énergie renouvelable, la voiture électrique a une empreinte CO2 deux fois moins importante qu'une voiture à essence comparable, sur tout son cycle de vie[2]. 

Pourtant, les avis sur la conduite électrique restent partagés : 60% des Belges sont (fortement) positifs. Ils lui donnent une note de 6 sur 10 ou plus. Mais 40% des Belges ont encore beaucoup de questions sur la conduite électrique.

Lies Eeckman, Managing Director chez Polestar Belgique : « La Belgique a pris un bon départ dans la transition vers la mobilité électrique et les Belges se tournent de plus en plus vers les voitures électriques. C'est encourageant. Mais la crise climatique actuelle appelle à une plus grande accélération. 2035 et l'interdiction des voitures à carburant fossile par l'Union européenne sont à portée de main, mais ce n'est tout simplement pas suffisant. Nous devons agir dès maintenant pour infléchir la courbe au cours de cette décennie et avoir une chance de rester en ligne avec l'Accord de Paris. »

Les idées fausses sur l'autonomie, l'infrastructure de recharge et le coût freinent la conduite électrique

L'un des obstacles au franchissement de cette étape est que les voitures électriques auraient une autonomie trop limitée. « La recherche montre que plus de la moitié (56%) conduisent moins de 15 000 km par an. En outre, la plupart des Belges parcourent en moyenne 40 km par jour pour se rendre au travail. Sachant qu'avec la Polestar 2 Standard range Single Motor vous pouvez parcourir jusqu'à 478 km (WLTP) avec une seule charge de batterie, l'autonomie ne devrait pas être un obstacle », ajoute Lies Eeckman.

Il existe également une idée fausse selon laquelle une voiture électrique est plus chère. En moyenne, l'achat d'une nouvelle voiture électrique est en effet plus cher que celui d'une voiture à essence. Or, lorsque l'on examine le coût de la voiture, il est important de considérer l'ensemble du cycle de vie d'une voiture. Dans ce cas, il est plus avantageux de posséder une voiture électrique, surtout compte tenu de l'augmentation du coût du carburant. Il y a beaucoup de mouvements sur les prix de l'énergie sur notre marché, et il y a des différences entre la Flandre, Bruxelles et la Wallonie. Mais globalement, il est financièrement plus intéressant d'opter pour une voiture électrique, surtout si elle est chargée à l’énergie verte.

L'infrastructure publique de recharge est une dernière préoccupation majeure pour les Belges. Parallèlement, les résultats montrent que 80% des conducteurs électriques peuvent utiliser une borne de recharge à leur domicile, tandis qu'un sur cinq peut se recharger sur son lieu de travail et qu'un sur six peut le faire à proximité de son domicile ou de son lieu de travail. Il est également frappant de constater que 79% des conducteurs qui parcourent entre 10 000 et 20 000 kilomètres par an et qui parcourent donc une plus grande distance sont plus satisfaits de l'infrastructure de recharge que la moyenne.

On prévoit que d'ici 2030, 1,25 million de voitures électriques circuleront sur nos routes en Belgique. « Si nous voulons être prêts à recharger toutes ces voitures, nous devons commencer aujourd'hui », déclare Lies Eeckman. « C'est là que réside le rôle clé de notre politique : déterminer quels sont les besoins en matière de tarification, et sur quelle base un plan de mobilité clair doit être élaboré. Cela nécessite une vision claire pour permettre une croissance contrôlée. »

Expérience essentielle

Les résultats confirment qu'une première expérience de la conduite électrique est décisive et peut dissiper de nombreux doutes. Aujourd'hui, un Belge sur cinq (21%) a fait l'expérience d'une voiture électrique. Ils sont beaucoup plus positifs sur les voitures électriques que la moyenne. En moyenne, 30% sont fortement positifs, mais ce pourcentage grimpe à 47% chez ceux qui ont déjà fait l'expérience de la conduite électrique. Cela représente une augmentation de 17%. Le nombre d'évaluations négatives au sein de ce groupe chute également à 11% contre 18% pour la moyenne.

Si vous aussi vous voulez faire partie du changement, faites l’expérience de la conduite électrique. 

Réserver une conduite d'essai Polestar

[1] https://climat.be/en-belgique/climat-et-emissions/emissions-des-gaz-a-effet-de-serre/emissions-par-secteur

[2] https://www.polestar.com/dato-assets/11286/1630409045-polestarlcarapportprintkorr11210831.pdf

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